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L'essentiel par l'éditeur
Les comités de protection des personnes (CPP) jouent un rôle crucial dans l'encadrement éthique des recherches biomédicales en France. Créés par la loi de 2004, ils évaluent les projets sous un prisme éthique, tandis que l'ANSM se concentre sur l'aspect technique. Les CPP, composés de membres diversifiés, rendent des avis conformes indispensables pour le lancement des recherches. Leur agrément, délivré par le ministre de la Santé, est soumis à des conditions strictes, garantissant une expertise professionnelle et éthique.
S’il est vrai, comme le disait Axel Khan lors de la journée de la recherche Claude Huriet le 19 décembre 2008 à Nancy, que « la médecine est restée humaine jusqu’à ce qu’elle soit efficace », il est non moins vrai que le législateur a depuis fort longtemps affiché la volonté d’encadrer les travaux des chercheurs en regard d’une éthique médicale par ailleurs en constante évolution.
Parmi les événements que l’on s’accorde à reconnaître comme un fait majeur jalonnant les progrès de la médecine ces dernières décennies, figure certainement la première transplantation cardiaque réalisée au Cap par le professeur Barnard en 1967.
Suite aux réflexions éthiques engendrées par cet événement tout autant que par les perspectives nouvelles que les progrès de science laissaient désormais...
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